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1 mars 2024 5 01 /03 /mars /2024 17:03

Dans le domaine des événements d'entreprise, peu de destinations possèdent l'attrait magnétique et le charme cosmopolite de la ville de New York, et plus particulièrement de son quartier emblématique de Manhattan. Connue pour être l'exemple parfait de sophistication, d'innovation et de diversité culturelle, New York s'impose comme un centre de premier plan pour les rassemblements d'entreprises, les réunions et les conventions. De ses gratte-ciel imposants à sa scène gastronomique de classe mondiale, en passant par son offre culturelle dynamique, l'attrait de New York et de Manhattan en tant que destination pour les activités d'entreprise est multiple et indéniable.

L'un des aspects les plus fascinants de la ville de New York est probablement sa position de leader économique mondial. En tant que capitale économique mondiale, Manhattan sert de siège à de nombreuses multinationales, institutions financières et géants de la technologie. Cette concentration de l'influence des entreprises offre non seulement des possibilités de réseautage inégalées, mais confère également une aura de prestige et de sophistication à tout événement organisé sur son territoire. Qu'il s'agisse du lancement d'un produit ou d'un service, d'une conférence aux enjeux importants ou même d'un sommet industriel, la silhouette emblématique de Manhattan confère un sentiment de gravité et d'importance aux procédures.

En outre, la situation stratégique de New York sur la côte est des États-Unis la rend facilement accessible depuis les grandes villes du monde entier. Avec quelques aéroports internationaux et un programme de transport public complet, comprenant des métros, des bus et des taxis, se rendre dans la ville et s'y déplacer est un jeu d'enfant pour les participants qui viennent de près ou de loin. Cette accessibilité est en fait un facteur clé de la popularité de la ville en tant que lieu d'événements d'entreprise, car elle permet de s'assurer qu'aucun participant potentiel n'est exclu en raison de contraintes logistiques.

Au-delà de ses prouesses monétaires et de son confort logistique, la richesse culturelle de la ville de New York constitue un autre attrait majeur pour les événements d'entreprise. Manhattan, en particulier, abrite une variété étourdissante de galeries, de théâtres, de galeries d'art et de lieux de divertissement de classe mondiale. Des lumières de Broadway aux salles sacrées de la Metropolitan Gallery of Art, In-NewYork les participants n'ont que l'embarras du choix en matière d'activités extrascolaires et d'expériences sociales. Cette richesse d'alternatives permet aux organisateurs d'événements d'adapter leurs programmes aux intérêts et aux préférences personnelles de leurs visiteurs, qu'il s'agisse d'amateurs d'art, de passionnés de théâtre ou de gourmands désireux de goûter aux plaisirs culinaires de la ville.

En outre, la réputation de New York en tant que creuset de cultures et de cuisines contribue à garantir que les possibilités de restauration sont aussi différentes que savoureuses. Des établissements gastronomiques étoilés au Michelin aux humbles fournisseurs de quartier, Manhattan offre un paysage culinaire qui satisfait tous les palais et tous les budgets. Les activités d'entreprise organisées dans la métropole intègrent souvent des expériences gastronomiques dans leur codification, qu'il s'agisse d'une réception avec cocktails artisanaux et hors-d'œuvre ou d'un dîner de gala mettant en valeur les meilleures cuisines du monde. La possibilité de savourer des délices épicuriens inégalés est une autre raison pour laquelle Ny reste un choix de premier ordre pour les rassemblements d'entreprises.

Outre son offre ethnique et culinaire, la ville de New York s'enorgueillit d'un grand nombre de points d'intérêt et de destinations emblématiques qui constituent une toile de fond mémorable pour les événements d'entreprise. De la Statue de la Liberté à Times Square, en passant par Central Park et l'Empire Status Building, ces sites emblématiques confèrent un sentiment de grandeur et d'enthousiasme indéniable à l'événement. Qu'il s'agisse d'organiser un cocktail au sommet d'un gratte-ciel surplombant l'horizon de la ville ou une chasse au trésor dans les rues animées de Midtown Manhattan pour renforcer l'esprit d'équipe, les organisateurs d'événements ne manquent pas de lieux et d'activités uniques à leur disposition.

En outre, la réputation de New York en tant que centre d'innovation et de créativité en fait l'endroit idéal pour organiser des activités d'entreprise axées sur le leadership et le développement professionnel. La ville accueille certains des plus grands établissements d'enseignement supérieur, instituts de recherche et groupes de réflexion du monde, ce qui offre de nombreuses possibilités de coopération et de révélation des connaissances. Qu'il s'agisse de conférences et de séminaires axés sur le marché, de discussions de type TED ou de tables rondes réunissant des leaders d'opinion et des sommités, New York constitue un terreau fertile pour les échanges cérébraux et les technologies de l'information et de la communication.

En outre, l'écosystème vivant des startups et l'esprit d'entreprise de la ville en font un lieu attractif pour les entreprises qui cherchent à encourager l'innovation et à créer des relations stratégiques. Les activités d'entreprise organisées à New York intègrent souvent des éléments de marketing et de partenariat, permettant aux invités d'entrer en contact avec des professionnels partageant les mêmes idées, des investisseurs potentiels et des perturbateurs de l'industrie. Qu'il s'agisse d'une compétition de niveau "pitch" mettant en valeur les technologies et les développements les plus récents ou d'une table ronde sur l'avenir de l'entreprise, New York offre une atmosphère dynamique et stimulante pour les rassemblements d'entreprises de tous types.

Le charme de New York et de Manhattan en tant que lieu de vacances pour les événements d'entreprise réside dans son mélange unique d'impact économique, de richesse culturelle, de variété culinaire et de sites emblématiques. Du statut de centre financier mondial à la vitalité des disciplines et de la scène du divertissement, la ville offre une multitude de possibilités de réseautage, d'étude et de recherche. Qu'il s'agisse d'accueillir une conférence, un congrès ou une retraite pour cadres, New York offre une toile de fond inégalée pour des événements d'entreprise qui laissent une impression durable sur les participants et les organisateurs.

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9 janvier 2024 2 09 /01 /janvier /2024 08:19

La crise des missiles de Cuba en octobre 1962 est considérée comme le moment le plus proche que l'humanité ait jamais connu d'une guerre nucléaire. Cet affrontement de treize jours entre les États-Unis et l'Union Soviétique sur l'installation de missiles nucléaires soviétiques à Cuba a mis le monde en haleine et a démontré la fragilité de la paix dans une ère de dissuasion nucléaire.

La crise a commencé lorsque des avions espions américains U-2 ont pris des photographies montrant des sites de missiles nucléaires soviétiques en construction à Cuba, à seulement 90 miles de la côte de la Floride. Ces développements ont été perçus comme une menace directe et inacceptable pour la sécurité nationale des États-Unis, notamment parce qu'ils pourraient permettre à l'Union Soviétique de lancer des missiles nucléaires avec très peu de préavis.

Le président John F. Kennedy a répondu en imposant un blocus naval (qu'il a appelé "quarantaine") autour de Cuba pour empêcher l'arrivée de matériel militaire supplémentaire et a exigé le retrait des missiles déjà présents. Le monde a regardé avec anxiété alors que les deux superpuissances se livraient à un dangereux jeu de bluff et de diplomatie.

Le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev a initialement refusé de reculer, entraînant une période extrêmement tendue où une guerre nucléaire semblait possible, voire probable. L'ONU a été utilisée comme forum pour des échanges publics et tendus entre les États-Unis et l'Union soviétique, avec des discours mémorables tels que celui de l'ambassadeur américain Adlai Stevenson exigeant des réponses de son homologue soviétique.

Cependant, grâce à une diplomatie intense et secrète, y compris des lettres directes entre Kennedy et Khrouchtchev, les deux parties ont finalement trouvé un moyen de désamorcer la crise. L'Union Soviétique a accepté de démanteler ses sites de missiles à Cuba en échange de la promesse américaine de ne pas envahir Cuba et, plus tard, du retrait secret des missiles américains en Turquie.

La crise des missiles de Cuba a eu plusieurs conséquences importantes. Premièrement, elle a exposé la menace terrifiante de la guerre nucléaire et a incité les deux superpuissances à instaurer des moyens de communication plus directs, comme la mise en place d'une ligne téléphonique rouge entre la Maison Blanche et le Kremlin pour prévenir les malentendus futurs. Deuxièmement, elle a mené à un certain rapprochement entre les États-Unis et l'Union soviétique, conduisant à des accords comme le Traité d'interdiction partielle des essais nucléaires en 1963.

Sur le plan intérieur, la gestion de la crise par Kennedy a renforcé sa réputation et a été largement vue comme une victoire pour sa présidence, bien que la situation globale ait été extrêmement risquée et complexe. À Cuba, Fidel Castro a été frustré par l'accord conclu sans sa pleine participation ou consentement, mais la crise a renforcé le soutien à son régime en le représentant comme un défi audacieux à l'impérialisme américain.

En résumé, la crise des missiles de Cuba a été un moment décisif de la Guerre froide, soulignant à quel point le monde était proche d'une catastrophe nucléaire. Elle a mis en évidence la nécessité d'une gestion prudente et réfléchie des relations internationales, en particulier en ce qui concerne les armes nucléaires, et a servi de leçon pour les générations futures sur les dangers de l'escalade militaire et l'importance de la diplomatie.

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27 octobre 2023 5 27 /10 /octobre /2023 12:16
Danser avec les éléments: la vie d'un pilote

Depuis la nuit des temps, les hommes regardent le ciel avec émerveillement et nostalgie. Le rêve du voyage aérien a captivé notre imagination créatrice, depuis les contes d'Icare et de Dédale jusqu'aux vols révolutionnaires des frères et sœurs Wright. Tandis que les oiseaux s'élevaient dans les airs, les êtres humains restaient connectés au monde. Mais ce n'est plus le cas. Apprendre à piloter un avion, c'est bien plus qu'acquérir une compétence, c'est accéder à un sentiment de liberté inégalé.

La procédure d'apprentissage du vol est rigoureuse et multiple. Avant de pouvoir s'envoler, il faut assimiler une multitude d'informations. L'aérodynamique, la météorologie, la navigation et la mécanique aéronautique ne sont que quelques-unes des matières qu'un pilote en herbe doit maîtriser. Ces cours fondamentaux permettent à l'élève d'acquérir la compréhension nécessaire pour évoluer en toute sécurité dans le ciel.

L'école du terrain, car c'est ainsi que l'on appelle généralement cette phase, est le moment où commence la relation entre le pilote et l'avion. Au fil des heures d'examen, l'élève se familiarise intimement avec les particularités de l'avion, dont il apprend les points forts, les points faibles et les excentricités. C'est un lien de confiance qui s'établit, important pour les défis à venir.

Rien n'est comparable à la première fois qu'un célibataire sent les roues de l'avion quitter le sol. C'est l'aboutissement de semaines, voire de mois, de préparation. Le monde entier se rétrécit, et ce qui semblait auparavant vaste et écrasant devient petit et distant. Au fur et à mesure que le sol recule, un nouveau point de vue apparaît. Les villes, les forêts et les océans se transforment en motifs complexes, rappelant à l'initial la grande tapisserie de la vie.

Ce premier vol est un rite de passage, une expérience pratique de transformation où l'inquiétude et le doute font place à l'exaltation et à la responsabilisation. La prise de conscience du fait que vous contrôlez actuellement cet oiseau de métal, que vous guidez sa trajectoire dans la vaste zone de l'atmosphère, est très libératrice.

Voyager, ce n'est pas seulement contrôler un avion, c'est une danse avec les éléments. Le ciel n'est pas forcément dégagé et les vents ne sont pas forcément calmes. Un pilote doit tenir compte des forces extérieures et comprendre que, même s'il est aux commandes de l'avion, ce sont les conditions météorologiques qui régissent le ciel.

Ce partenariat avec mère nature ajoute à la liberté du voyage aérien. C'est un obstacle dynamique, où l'on apprend à s'adapter, à penser à la volée et à prendre des décisions qui assurent la protection tout en continuant à profiter de la quête. Cet équilibre entre gestion et abandon est un aspect étonnant du pilotage, soulignant l'harmonie qui doit exister entre l'homme et la nature.

Dès que l'on a acquis les compétences et l'assurance nécessaires pour voler, le monde devient vraiment plus compact. Ce qui paraissait autrefois une distance insurmontable peut désormais être parcouru en quelques heures. Les frontières géographiques et les fuseaux horaires s'estompent. Les aviateurs ont la possibilité d'assister à des levers et des couchers de soleil dans des endroits dont la majorité des gens ne font que rêver. Ils peuvent prendre leur petit-déjeuner dans une ville et dîner dans une autre, ce qui témoigne de l'incroyable liberté que procure le voyage.

Apprendre à voler n'est pas seulement une question de voyage supplémentaire au-dessus des paysages, c'est aussi un voyage intérieur important. Les défis rencontrés et surmontés au cours du processus de formation inspirent un profond sentiment de confiance. Les aviateurs apprennent à se fier à eux-mêmes, à faire des choix cruciaux sous tension et à gérer des problèmes imprévus avec sang-froid.

Cette assurance se répercute sur d'autres aspects de la vie. Un pilote, ayant touché le ciel, Tematis reconnaît que de nombreuses limites sont imposées par l'individu. L'horizon n'est pas une frontière mais un appel, une note indiquant qu'il y a toujours plus à explorer, à découvrir et à réaliser.

Si le vol procure un immense sentiment de liberté, il offre également un point de vue particulier. Depuis l'atmosphère, on voit la beauté de notre monde, mais aussi ses marques. La déforestation, la contamination et l'étalement urbain sont visibles d'en haut et constituent des alertes poignantes de l'impact que nous avons sur la planète.

Cette vue plongeante insuffle souvent aux pilotes un profond sentiment de responsabilité. La liberté du ciel s'accompagne du devoir de sauvegarder et de conserver notre monde. Plusieurs pilotes deviennent des défenseurs du développement durable, comprenant que le ciel qu'ils chérissent est intrinsèquement lié à la santé de la terre.

Apprendre à voler est plus qu'une compétence ; c'est un voyage profond de développement, d'autonomisation et de liberté. Alors que la terre s'éloigne et que l'horizon s'étend à l'infini, on réalise les possibilités illimitées qui existent. Le ciel n'est pas une limite mais une invitation, un appel à la découverte, au rêve et à l'apprentissage. Pour reprendre les termes de Léonard de Vinci, "une fois que vous aurez goûté au vol, vous marcherez sur la terre avec les yeux tournés vers le ciel, car c'est là que vous avez été, et c'est là que vous souhaiterez généralement revenir".

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14 septembre 2023 4 14 /09 /septembre /2023 08:39

La sécurité des citoyens est une préoccupation fondamentale pour les gouvernements et les sociétés. Pour renforcer la sécurité des citoyens, il est nécessaire de mettre en œuvre des stratégies et des mesures visant à prévenir la criminalité, à protéger les individus et à promouvoir la sécurité publique. Cet essai explore les diverses approches et les principes clés pour renforcer la sécurité des citoyens, en mettant en évidence l'importance de la prévention, de l'application des lois, de la technologie et de la collaboration communautaire.

La prévention de la criminalité est un élément central pour renforcer la sécurité des citoyens. Investir dans des programmes de prévention tels que l'éducation, la formation professionnelle, les activités de loisirs et les initiatives de réinsertion sociale peut contribuer à réduire les causes sous-jacentes de la criminalité. La prévention précoce, en particulier chez les jeunes, peut aider à établir des fondations positives et à éviter des problèmes futurs.

L'application des lois efficace et équitable est cruciale pour maintenir la sécurité publique. Les forces de l'ordre doivent être bien formées, bien équipées et respecter les droits fondamentaux des citoyens. La lutte contre la criminalité organisée, la violence et le trafic de drogue nécessite une coopération étroite entre les services de police et les autorités judiciaires.

La technologie joue un rôle croissant dans le renforcement de la sécurité des citoyens. Les systèmes de vidéosurveillance, la reconnaissance faciale, les applications mobiles de signalement des incidents et les bases de données criminelles informatisées aident les autorités à détecter les activités criminelles et à réagir plus rapidement. Cependant, l'utilisation de la technologie doit être encadrée par des garanties de protection de la vie privée et des droits individuels.

La collaboration communautaire est essentielle pour renforcer la sécurité des citoyens. Impliquer les résidents dans la surveillance de leur quartier, l'échange d'informations et la participation à des programmes de prévention peut créer un environnement plus sûr. Les partenariats entre la police, les organisations locales, les écoles et les entreprises peuvent renforcer les efforts de sécurité et améliorer la communication.

La sensibilisation du public et l'éducation sur les questions de sécurité sont également importantes pour renforcer la sécurité des citoyens. Informer les citoyens sur les risques potentiels, les comportements de prévention et les mesures à prendre en cas d'urgence peut contribuer à une population plus vigilante et mieux préparée.

En conclusion, renforcer la sécurité des citoyens nécessite une approche multidimensionnelle et coordonnée. La prévention, l'application des lois, la technologie, la collaboration communautaire et la sensibilisation sont autant d'éléments clés pour garantir la sécurité publique. En travaillant ensemble, les gouvernements, les forces de l'ordre, les communautés et les individus peuvent contribuer à créer un environnement sécuritaire et protéger les droits et le bien-être de tous les citoyens.

 

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16 juin 2023 5 16 /06 /juin /2023 15:30

Le développement des avions à décollage et atterrissage verticaux (VTOL) a connu des avancées significatives ces dernières années, révolutionnant le concept de mobilité humaine. Les avions à décollage et atterrissage verticaux sont conçus de manière à pouvoir décoller et atterrir de haut en bas, hélicoptère à Bordeaux ce qui leur permet d'opérer dans des espaces confinés et de naviguer aisément dans des conditions urbaines complexes. Ces aéronefs associent les caractéristiques de sustentation de haut en bas des hélicoptères à la vitesse et à l'efficacité des avions à voilure fixe, apportant ainsi une réponse unique aux besoins de déplacement.

L'émergence de la technologie VTOL offre d'immenses possibilités de flexibilité humaine en répondant aux défis posés par l'engorgement du trafic et les contraintes d'infrastructure dans les zones densément peuplées. Grâce à l'avion VTOL, les individus peuvent éviter les encombrements au niveau des étages et apprécier les déplacements efficaces d'un niveau à l'autre. Ces avions peuvent utiliser des héliports préexistants ou des vertiports spécialement conçus, ce qui réduit la demande d'infrastructures de pistes d'atterrissage étendues.

En outre, le développement de techniques de propulsion électrique pour les avions VTOL joue un rôle dans leur durabilité écologique. Les avions VTOL électriques produisent moins d'émissions que les avions conventionnels et peuvent utiliser des ressources énergétiques renouvelables, réduisant ainsi l'empreinte carbone associée au transport. Cette technologie moderne s'inscrit dans le cadre de l'évolution mondiale vers des solutions de mobilité durable, en promouvant des options de transport plus propres et respectueuses de l'environnement.

Les avions VTOL offrent des avantages uniques dans les situations d'intervention d'urgence et de gestion des tragédies. Leur capacité à décoller et à atterrir en hauteur et en profondeur leur permet d'accéder rapidement et efficacement à des endroits éloignés ou autrement inaccessibles. Cette capacité a un impact considérable sur les services de santé d'urgence, les opérations de recherche et de récupération, et les livraisons de sources critiques.

En cas d'urgence médicale, les avions VTOL peuvent assurer une évacuation médicale rapide, en particulier lorsque les transports terrestres sont entravés par l'encombrement du trafic, les zones difficiles ou les infrastructures endommagées. La capacité de transporter les patients directement du lieu de l'accident aux installations médicales peut réduire considérablement les délais d'intervention, sauvant ainsi très probablement des vies au quotidien. Dans des situations vitales telles que les catastrophes naturelles ou les pertes massives, les avions VTOL peuvent évacuer plusieurs personnes simultanément, garantissant ainsi un triage et une intervention médicale rapides et efficaces.

Les opérations de recherche et de sauvetage bénéficient également beaucoup des avions VTOL. Ces appareils peuvent atteindre rapidement des endroits éloignés ou difficiles d'accès, notamment des régions montagneuses, des forêts denses ou des zones maritimes. Ils peuvent assurer une surveillance aérienne, identifier des personnes disparues et acheminer rapidement des équipes de secours sur les lieux. Les capacités de décollage et d'atterrissage verticaux permettent un positionnement précis dans des espaces limités, ce qui permet aux sauveteurs d'atteindre les victimes dans des environnements difficiles.

En outre, les aéronefs VTOL jouent un rôle crucial dans l'acheminement de fournitures essentielles en cas d'urgence. Lorsque les infrastructures de transport traditionnelles sont compromises, par exemple à la suite d'une catastrophe naturelle, les avions VTOL peuvent transporter des biens vitaux tels que du matériel médical, des repas, de l'eau et des fournitures d'urgence directement vers les zones touchées. Cette fonctionnalité permet de s'assurer que les opérations de secours ne sont pas entravées par des obstacles logistiques et que les ressources nécessaires atteignent rapidement les personnes dans le besoin.

Toutefois, l'adoption généralisée des avions VTOL se heurte encore à plusieurs difficultés. Il s'agit par exemple des cadres réglementaires, des problèmes de pollution sonore et atmosphérique et de la nécessité de développer les infrastructures. Pour surmonter ces difficultés, il faudra une collaboration entre les autorités aéronautiques, les planificateurs des centres-villes et les concepteurs de technologies afin de définir les exigences, d'intégrer les méthodes de gestion de l'espace aérien et de produire les infrastructures appropriées pour soutenir les opérations sûres et efficaces des aéronefs VTOL.

En conclusion, le développement des aéronefs à décollage et atterrissage verticaux (VTOL) représente un bond en avant dans le domaine de la mobilité humaine. En fusionnant les capacités de décollage et d'atterrissage verticaux, la vitesse, l'efficacité et la durabilité environnementale, la technologie VTOL a le potentiel de révolutionner le transport urbain, de réduire les embouteillages et d'améliorer les systèmes d'intervention d'urgence. Cette technologie étant en constante évolution, il sera probablement essentiel de relever les défis qui y sont liés et de favoriser la coopération afin de libérer tout le potentiel des aéronefs VTOL au profit de la société.

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Published by rodhene
13 avril 2023 4 13 /04 /avril /2023 08:09

L'anarchisme est vraiment un groupe de doctrines et de comportements centrés sur la croyance que le gouvernement est à la fois dangereux et inutile. L'anarchiste croyait avoir été créé en Occident et répandu dans le monde entier, principalement au début du 20e siècle. Dérivé de la racine du grec ancien anarchos qui signifie « sans autorité », l'anarchisme, l'anarchiste et l'anarchie sont utilisés pour transmettre chaque autorisation et désapprobation. Au début de l'usage, chacun de ces termes était péjoratif : par exemple, pendant les guerres civiles anglaises (1642-51), les niveleurs radicaux, connus sous le nom de suffrage masculin commun, avaient été décrits par leurs concurrents comme des « anarchistes suisses », et pendant la Révolution française le meilleur choix de la faction modérée girondine du Parlement, Jacques-Pierre Brissot, accusait ses concurrents les plus extrêmes, les Enragés, d'être les partisans de « l'anarchie » : des règlements qui ne sont pas appliqués, des autorités respectives sans avoir pression et mépris, activité criminelle impunie, propriété attaquée, sécurité de la personne violée, moralité des individus lésée, pas de constitution, pas de gouvernement, pas de justice, telles sont les caractéristiques fondamentales de l'anarchie. Ces termes pourraient fonctionner comme un dessein pour les dénonciations prononcées par tous les concurrents de l'anarchisme. Les anarchistes, de leur côté, confesseraient beaucoup de points de Brissot. Ils nient les réglementations faites par les hommes, respectent la maison comme un moyen de tyrannie et croient que le crime n'est que le produit de la propriété et de l'autorité. Cependant, ils débattraient du fait que leur déni des constitutions et des gouvernements ne mène pas à « l'absence de justice » mais à la véritable justice inhérente au développement totalement libre de la socialité humaine - le désir naturel, lorsqu'il n'est pas entravé par des règlements, de vivre selon les concepts et l'exercice de aide conjointe. La première personne à se dire volontairement anarchiste fut l'auteur gouvernemental français et leader socialiste Pierre-Joseph Proudhon. Dans son étude controversée des fondements financiers de la culture, Qu'est-ce que la propriété? (1840 ; Qu'est-ce que la propriété exactement ?), Proudhon a soutenu que les véritables réglementations de la culture n'ont absolument rien à voir avec le pouvoir mais découlent plutôt de la nature de la culture elle-même, et il a prévu la dissolution ultime de l'autorité et l'apparition du tout-naturel. achat social : Les éléments fondamentaux de la philosophie de Proudhon actuellement avaient été développés par des penseurs antérieurs. Le déni du pouvoir gouvernemental a un riche pedigree. Il se développe en revenant à l'antiquité classique - aux stoïciens ainsi qu'aux cyniques - et se poursuit avec le Moyen Âge et la Renaissance, comme l'illustrent les sectes chrétiennes dissidentes telles que les cathares médiévaux et les factions spécifiques des anabaptistes. Pour de telles organisations - qui sont souvent revendiquées à tort comme des ancêtres par les écrivains anarchistes contemporains - le rejet du gouvernement n'était qu'une partie d'une escapade de votre planète matérielle dans une arène d'élégance spirituelle et, dans le cadre de la recherche du salut individuel. , il avait été à peine compatible avec la doctrine sociopolitique de l'anarchisme. Sous toutes ses formes, cette doctrine comprend (1) une recherche sur les relations de pouvoir des formes fondamentales actuelles du pouvoir politique et (2) une vision de la culture libertaire alternative basée sur la coopération, par opposition aux concurrents et à la coercition, et fonctionnant sans avoir besoin pour l'autorité gouvernementale. Le tout premier dessin d'un Commonwealth anarchiste au sein de cette perception a été créé en Angleterre au cours des nombreuses années qui ont suivi instantanément les guerres civiles en langue anglaise (1642-51) par Gerrard Winstanley, un chrétien dissident et père fondateur du mouvement Digger. Dans son pamphlet de 1649, La réalité lève la tête Les scandales mentionnés précédemment, Winstanley abaissa ce qui devint plus tard les principes de base parmi les anarchistes : que le pouvoir corrompt ; que la propriété est incompatible avec la liberté ; que l'autorité et la propriété sont entre elles les génératrices du crime ; que c'est seulement dans une culture sans gouvernants, dans laquelle le travail et ses éléments sont partagés, que les hommes peuvent être totalement libres et heureux, agissant non pas sur la base des lois imposées précédemment mais sur la base de leur conscience. Winstanley n'était pas seulement le théoricien pionnier de l'anarchisme mais aussi le précurseur de l'activisme anarchiste. En 1649, en téléphonant au peuple « pour faire du fumier et travailler sur les terres les plus populaires », il s'engagea avec une bande de fans sur une colline du sud de l'Angleterre et fonda une société de communisme agraire libre.

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14 février 2023 2 14 /02 /février /2023 16:44

J'ai récemment assisté à une excellente convention dans une base aérienne des services militaires. On y parlait d'avions militaires, et surtout de chasseurs à réaction. Un avion de chasse est un avion développé principalement pour assurer le contrôle de l'espace aérien essentiel en détruisant l'avion ennemi au combat. L'opposition peut comprendre des chasseurs de capacité équivalente ou des bombardiers transportant un armement de protection. Pour ces raisons, les chasseurs doivent être capables d'atteindre les meilleures performances globales possibles afin d'être en mesure de voler et de déjouer les chasseurs adverses. Plus important encore, ils doivent être équipés d'armes spécifiques capables de frapper et de détruire l'avion adverse.

Les avions de chasse ont déjà été décrits par un certain nombre d'étiquettes. Au début de la Première Guerre mondiale, ils étaient utilisés comme avions d'observation pour repérer l'artillerie, mais on s'est vite rendu compte qu'ils pouvaient être armés et se battre entre eux, abattre les bombardiers ennemis et accomplir d'autres tâches stratégiques. Depuis cette période, les chasseurs ont assumé divers rôles de combat spécifiques. Un intercepteur est en fait un chasseur dont le style et l'armement lui conviennent le mieux pour intercepter et battre ou mettre en déroute les chasseurs envahisseurs. Un chasseur de nuit est un chasseur équipé d'un radar avancé et d'autres instruments permettant de se déplacer de nuit en territoire inconnu ou hostile. Un chasseur mma de jour est certainement un avion dans lequel le poids et l'espace sont économisés en éliminant l'équipement de navigation spécial du chasseur mma de nuit. Le chasseur de suprématie environnementale, ou de supériorité aérienne, doit avoir une capacité de longue portée, afin de lui permettre de se déplacer en force en territoire ennemi pour en sortir et endommager les chasseurs adverses. Les chasseurs-bombardiers MMA remplissent le double rôle suggéré par leur titre.

À l'époque des "dogfights" aériens de la Première Guerre mondiale, les mitrailleuses légères étaient synchronisées pour tirer avec l'hélice de l'avion, et à la fin de la bataille, des chasseurs tels que le Fokker D.VII allemand et le Spad français atteignaient des vitesses de 215 km par heure. Nombre d'entre eux étaient des biplans à armature en bois et à revêtement en tissu, comme la plupart des avions de chasse de l'entre-deux-guerres. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les avions de chasse monoplan tout en métal ont dépassé des vitesses de 450 kilomètres (725 km) par heure et ont atteint des plafonds de 35 000 à 40 000 pieds (10 700 à 12 000 m). Les chasseurs les plus connus de l'époque étaient le Hurricane et le Spitfire britanniques, le Messerschmitt 109 et le FW-190 allemands, le P-47 Thunderbolt et le P-51 Mustang américains, et le Zero (AGM Type Zero) japonais. Les capacités des Alliés et de l'Axe ont mis en place des avions à réaction, mais ceux-ci sont devenus opérationnels bien trop tard pour avoir un impact sur l'issue de la bataille.

Tout au long de la bataille de Corée, les chasseurs à réaction, en particulier le F-86 américain et le MiG-15 soviétique, ont été utilisés à fond. Les F-100 et F-4 américains, le MiG-21 soviétique et le Mirage III français ont été utilisés au Moyen-Orient et au Vietnam dans les années 1960 et 1970. Les chasseurs à réaction supersoniques contemporains peuvent voler à plus de mille kilomètres (1 600 km) à l'heure. Ils peuvent avoir des taux de montée rapides, une excellente manœuvrabilité et une grande puissance de feu, comme des missiles atmosphère-atmosphère. Le F-16 américain ainsi que le MiG-25 soviétique comptent parmi les chasseurs à réaction les plus avancés au monde.

Aux vitesses et altitudes auxquelles ces avions peuvent évoluer, la question de la frappe et de la destruction de l'avion ennemi devient très complexe et nécessite une série d'équipements numériques, de navigation et de calcul. Un chasseur mma monoplace à hautes performances des années 1980 peut être aussi coûteux et beaucoup plus compliqué que les bombardiers multimoteurs de la Seconde Guerre mondiale. Souvent, les fonctions de recherche et d'attaque sont totalement automatisées, le rôle du pilote dans le combat se réduisant pratiquement à vérifier la procédure de l'engin. En effet, avec les avions de combat mma modernes à réaction, on arrive à un stade où les capacités de performance globale de la machine dépassent les capacités d'un pilote humain à la contrôler.

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4 janvier 2023 3 04 /01 /janvier /2023 08:22

Le prix du Bitcoin a baissé de 75% au cours de la dernière année, donc quiconque a investi massivement au sommet aura perdu beaucoup d'argent. Et maintenant, il y a plus de mauvaises nouvelles pour les investisseurs en crypto-monnaie: ils ne peuvent pas légalement posséder les actifs numériques qu'ils ont achetés.
Mes collègues et moi avons récemment terminé des recherches montrant qu'il est peu probable que les tribunaux d'Angleterre et du Pays de Galles identifient les jetons numériques comme des biens, car la loi ne reconnaît pas la possession d'objets intangibles. Cela signifie que les avoirs en crypto-monnaie peuvent ne pas du tout être considérés comme des biens. En conséquence, bien que les jetons numériques soient techniquement sécurisés grâce à la technologie blockchain, le niveau de protection juridique n'est pas clair. Et la même chose s'applique probablement dans d'autres juridictions de common law comme les États-Unis, Hong Kong, Singapour et la plupart de l'Inde.
Le droit de la propriété traite des droits que vous avez sur les biens que vous possédez. Les systèmes de common law distinguent les terrains, appelés biens immobiliers », et tous les autres biens, appelés biens personnels».
Les biens personnels comprennent des droits sur deux catégories de choses. Premièrement, il y a des choses en possession ». Ce sont des éléments tangibles que vous pouvez physiquement posséder et transférer à un autre. Le billet de 20 £ dans votre poche est une chose en possession.
Deuxièmement, il y a des choses en action », une catégorie mixte de droits qui ne peuvent être revendiqués ou appliqués que par une action en justice. Cela comprend les dettes, les droits contractuels et la propriété intellectuelle. Les 20 £ que vous avez déposées dans une banque sont en action, car la banque vous doit une dette de 20 £. Cette dette est intangible, mais, si nécessaire, pourrait être exécutée par une action en justice.
Qu'en est-il des jetons numériques tels que les crypto-monnaies? Les jetons n'existent pas physiquement. Ce sont des entrées sur un grand livre virtuel. Et la jurisprudence en Angleterre et au Pays de Galles a établi qu'une chose qui n'existe que sous forme électronique ne peut pas faire l'objet d'une possession. Les jetons numériques ne sont donc pas des choses en possession.
Mais ils ne ressemblent pas vraiment à des choses en action, soit un Bitcoin ne vous donne droit à rien ni contre personne. Ce que vous avez est une clé privée cryptographique (une sorte de mot de passe de numéro secret) qui vous donne un contrôle exclusif sur ce Bitcoin. Cela vous permet de soumettre des transactions au grand livre et d'envoyer votre Bitcoin à qui vous voulez.
D'autres types de jetons vous donnent un droit contre l'émetteur de jetons. Par exemple, les jetons utilitaires vous donnent droit à un produit ou service d'une entreprise. Ces jetons représentent effectivement une dette ou un droit sous contrat et seront probablement considérés comme des choses en action. Cependant, tous les jetons ne donnent pas aux acheteurs un droit contre l'émetteur. Les conditions d'une récente vente de jetons par une start-up - qui a levé 4 milliards de dollars américains - spécifiaient que les jetons n'avaient aucun droit, utilisation ou attribut
Incertitude juridique
Ce manque de protection juridique peut convenir aux origines cypherpunk des crypto-monnaies. Les particuliers qui négocient des jetons sécurisés en ligne en privé n'ont pas besoin d'être protégés contre les géants fatigués de la chair et de l'acier »(gouvernements industriels). Mais lorsque les consommateurs traditionnels achètent des jetons numériques, des différends sont liés.
Par exemple, si les jetons numériques sont des biens, ils feront partie de votre succession à votre décès et vos héritiers en hériteront. Mais quiconque possède la clé privée contrôle techniquement les jetons, créant un conflit potentiel. Le problème a été soulevé devant un tribunal de Floride. La succession du défunt Dave Kleiman poursuit Craig Wright, qui aurait saisi jusqu'à 1 m de bitcoin, d'une valeur de milliards de dollars. La succession poursuit pour le retour des jetons en vertu de ce qu'on appelle le délit de conversion, qui en Angleterre et au Pays de Galles ne s'applique qu'aux choses en possession
Certains commentateurs se sont demandé si Wright - un personnage haut en couleur qui prétendait avoir inventé le Bitcoin - avait déjà eu les jetons pour commencer. Mais le cas montre comment l'issue des litiges peut dépendre du statut de propriété des jetons numériques. Des problèmes similaires pourraient survenir en cas de vol, de faillite et de divorce
Peu d'investisseurs auront beaucoup réfléchi au statut juridique de leur crypto-monnaie. Mais à long terme, un manque de protection juridique pourrait encore réduire la valeur des jetons, en particulier s'il empêche les concepts financiers tels que les fiducies ou les titres d'être appliqués. Certes, la valeur des jetons numériques a jusqu'à présent été de toute façon volatile et imprévisible. Mais les différends juridiques qui en résultent peuvent forcer les avocats en droit des biens à affronter un nouveau monde virtuel d'actifs numériques.
À l'avenir, la loi pourrait étendre les droits de propriété aux jetons numériques, par exemple en reconnaissant une nouvelle catégorie de chose virtuelle en possession - mais cela nécessiterait probablement une nouvelle législation. Pour l'instant, le statut de propriété des jetons numériques reste un sujet de doute », Comme l'a récemment déclaré l'un des juges de la Cour suprême du Royaume-Uni. Donc avertissement: acheteur de bitcoins, méfiez-vous.

 

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Published by rodhene
20 septembre 2022 2 20 /09 /septembre /2022 16:50
A l'origine de la pizza

Nous aimons tous la pizza. C'est le plat le plus simple et pourtant le plus délicieux, partout dans le monde. La pizza est un plat d'origine italienne composé d'un disque dur aplati d'une miche de pain garnie d'un mélange d'huile d'olive, d'origan, de tomates, d'olives, de mozzarella ou de tout autre fromage, et de plusieurs autres ingrédients, cuit rapidement - généralement, dans un établissement commercial, à l'aide d'un four à bois chauffé à très haute température - et servi chaud.

L'une des pizzas les plus simples et les plus courantes est la Margherita, qui est garnie de tomates ou d'une marinade de tomates, de mozzarella et de basilic. Une légende bien connue raconte qu'elle a été nommée en l'honneur de la reine Marguerite, épouse d'Umberto Ier, qui aurait aimé son goût frais et modéré et aurait également remarqué que les couleurs de sa garniture - vert, blanc et rouge - étaient celles du drapeau italien.

L'Italie compte de nombreuses variantes de pizza. La pizza napolitaine, ou pizza de type Naples, est faite spécifiquement avec de la mozzarella de buffle (produite à partir du lait des buffles de la Méditerranée italienne) ou du fior di latte (mozzarella produite à partir du lait des précieuses vaches agerolaises) ainsi que des tomates San Marzano ou du pomodorino vesuviano (une variété de tomate à grappes cultivée à Naples). La pizza romaine omet souvent les tomates (un transfert du XVIe siècle) et utilise des oignons et des olives. Les pizzas liguriennes ressemblent à la pissaladière de Provence en France, incorporant des anchois aux olives et aux oignons. Les pizzas se sont également répandues à partir de la France dans la majeure partie du reste du monde et, dans les régions autres que l'Italie, les garnitures utilisées varient en fonction des ingrédients accessibles et du profil de saveur privilégié.

La popularité de la pizza aux États-Unis a commencé par le quartier italien de New York, où la pizza napolitaine a eu un impact précoce. La première pizzeria est apparue à New York au début du XXe siècle. Après la Seconde Guerre mondiale, le commerce de la pizza a connu un véritable boom. En peu de temps, il n'y avait guère de hameau sans pizzeria. La saucisse, le bacon, la viande hachée, le pepperoni, les champignons et les poivrons sont des garnitures traditionnelles familières à de nombreux Américains, mais des substances aussi variées que la roquette, la pancetta et les truffes y ont trouvé leur place sur les pizzas. Des variantes sont également souvent liées à différentes régions du pays, faire une pizza dont la pizza profonde de Chicago et la pizza de style californien.

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22 juillet 2022 5 22 /07 /juillet /2022 09:45

Inquiets du coût des renflouements publics, les gouvernements ont proposé des renflouements par lesquels les banques contribuent au sauvetage de leurs débiteurs. Cette colonne analyse les conditions dans lesquelles les stratégies de bail-in peuvent être mises en œuvre de manière crédible, montrant que cela dépend fortement de la structure du réseau. Alors que des travaux antérieurs ont suggéré que les réseaux plus denses sont socialement préférés aux réseaux moins connectés, le contraire est vrai en présence de l'intervention stratégique du gouvernement.
Les institutions financières sont liées entre elles par des contrats bilatéraux, tels que des prêts et des produits dérivés, et sont donc exposées au risque de contrepartie. Si une institution est insolvable et ne respecte pas ses accords, ses contreparties peuvent également devenir insolvables - les problèmes d'une institution financière se propageant à d'autres dans ce que l'on appelle la contagion financière. Des chocs importants peuvent déclencher une cascade de défauts de paiement avec des conséquences potentiellement dévastatrices pour l'économie, comme ce fut le cas lors de la crise financière de 2007-2008 (Cecchetti et Schoenholtz 2017). Pour réduire les externalités négatives imposées à leurs économies respectives et les résultats désastreux des cascades de faillites, de nombreux gouvernements ont sauvé des institutions financières d'importance systémique avec des renflouements gouvernementaux. Ben Bernanke, président de la Réserve fédérale à l'époque, a déclaré que l'effondrement de Bear Stearns à la mi-mars 2008 était si grave que les créanciers ont perdu confiance dans le fait qu'ils pourraient récupérer leurs prêts en vendant la garantie, forçant le gouvernement à intervenir (Bernanke 2008) .
Exigences de fonds propres et politiques de résolution
L'utilisation de l'argent des contribuables pour les renflouements a été fortement critiquée car elle offre aux grandes banques une protection implicite en cas de renflouement : sachant qu'elles sont trop grandes pour faire faillite, les grandes banques sont incitées à prendre des risques excessifs (tels que surinvestir dans actifs risqués) parce que leur baisse est protégée. Pour éviter une utilisation excessive de l'argent des contribuables pour des renflouements, des exigences de capital telles que Bâle III ont été mises en place pour réduire le risque de défaut de chaque banque individuelle. Néanmoins, ces réglementations ne garantissent pas la stabilité financière dans les événements les plus extrêmes.
La recherche universitaire de la dernière décennie (en commençant par Allen et Gale 2000 et Stiglitz et Greenwald 2003) a visé à mieux comprendre le rôle de la structure financière - c'est-à-dire la structure des réseaux, y compris les liens par le biais de produits dérivés et d'autres accords de partage des risques (voir également Stiglitz 2010). Quels types de structures réduisent la probabilité de crises systémiques et le montant des contributions des contribuables nécessaires pour prévenir une crise financière ? Allen et Gale (2000) et Acemoglu et al. (2015) ont montré que la structure du réseau financier affecte fortement la taille des externalités. Les résultats de ce programme de recherche vieux de deux décennies indiquent qu'au lieu de se concentrer uniquement sur les banques individuelles, les réglementations devraient également viser la structure du réseau financier et la taille des coussins requis devrait tenir compte de cette structure.
Outre les exigences en matière de fonds propres, le discours politique récent s'est également centré sur les politiques de résolution. Dodd-Frank a exigé la production de testaments de vie, c'est-à-dire des plans d'urgence des institutions financières d'importance systémique pour résoudre leurs opérations en cas de défaut. Cependant, les sceptiques craignaient qu'ils ne soient non pertinents et/ou abandonnés en cas de crise parce que l'engagement à les mettre en œuvre n'était pas crédible.
Une alternative aux renflouements : les renflouements
Depuis la crise de l'Asie de l'Est, les détracteurs des renflouements ont suggéré les «bail-ins» comme alternative, par laquelle le secteur privé contribue au sauvetage d'une banque en difficulté. Cependant, la crédibilité et l'applicabilité sont à nouveau en cause. Comment le gouvernement peut-il imposer la participation du secteur privé lorsque le secteur privé sait qu'en l'absence de sa coopération, le gouvernement procéderait néanmoins à un renflouement ? Dans de telles circonstances, les banques n'ont apparemment aucune incitation à contribuer à un renflouement interne, car elles préfèrent toujours un sauvetage par le biais d'un renflouement public. Si quelques renflouements ont été observés dans la pratique, les conditions dans lesquelles ils existent n'ont été comprises que récemment. Un excellent exemple de bail-in est le sauvetage de Long Term Capital Management (LTCM) en 1998. Sous la supervision de la Federal Reserve Bank de New York, 14 banques au total, y compris les principaux créanciers de LTCM, ont accepté de participer. dans un plan de recapitalisation totalisant 3,6 milliards de dollars. Le Conseil de stabilité financière a depuis inclus les bail-ins comme l'un de ses principaux composants des régimes de résolution post-crise (FSB 2011).
Crédibilité de la menace du gouvernement et des pertes de bien-être
Existe-t-il réellement des stratégies de bail-in crédibles ? Dans un nouvel article, nous soutenons que la réponse est oui (Bernard et al. 2017). Nous montrons que l'existence de bail-ins crédibles est liée à l'amplification du choc à travers le système financier, qui se produit à travers les pertes de liquidation, les coûts de faillite et les effets de rétroaction négative entre les banques fortement interconnectées en difficulté. Des stratégies de bail-in crédibles existent si et seulement si cette amplification est inférieure à un certain seuil. S'il dépasse ce seuil, les pertes pour l'économie réelle sont trop importantes pour que le gouvernement reste les bras croisés. Le gouvernement ne peut donc pas menacer de manière crédible de ne pas renflouer les banques en difficulté. Les banques étant conscientes de ce fait, elles refusent de contribuer à un renflouement interne, ce qui laisse un renflouement public comme seule option d'intervention possible. Si, en revanche, l'amplification se situe en dessous du seuil, la menace de « non intervention » est crédible et les banques peuvent être incitées à contribuer à un sauvetage afin d'éviter une cascade de défauts. Un corollaire de notre résultat est que la structure du réseau joue un rôle fondamental pour décider si un sauvetage doit être financé par l'argent des contribuables ou par des sources au sein du secteur financier.
L'existence de stratégies de bail-in crédibles affecte la structure socialement souhaitable du réseau. Dans des travaux antérieurs sans envisager d'intervention, des liens denses entre les institutions financières semblaient améliorer la stabilité financière, à moins qu'un choc ne soit suffisamment important pour provoquer un défaut systémique (Allen et Gale 2000, Gai et Kapadia 2010, Acemoglu et al. 2015). Nos résultats renversent ces présomptions et indiquent qu'un réseau moins connecté peut être bénéfique pour deux raisons :
des liens moins denses élargissent la gamme des chocs pour lesquels une stratégie de renflouement interne crédible existe ; et
les banques sont prêtes à faire des contributions plus importantes à un renflouement interne, réduisant ainsi les contributions nécessaires des contribuables du gouvernement.
Politiques structurelles, aléa moral et structure réglementaire optimale
Notre cadre ouvre la voie à un programme de recherche complet ciblant l'analyse des politiques structurelles, qui expliquent comment la procédure de renflouement interne à l'équilibre affecte les décisions de négociation et d'investissement des banques. Cette étude caractérise le consortium bail-in d'équilibre qui surgit après la réalisation d'un choc exogène. En supposant une distribution préalable sur la taille des chocs, le gouvernement peut identifier la structure de réseau préférée ex ante. Dans le prolongement de nos travaux, les banques anticipent quels consortiums de bail-in sont crédibles pour quelles structures de réseau, et donc choisissent leurs contreparties de manière à ce que le réseau interbancaire résultant minimise leurs contributions attendues ex-ante au plan de bail-in d'équilibre. Cela ajoute une couche importante à la littérature sur l'aléa moral - en plus de maximiser la valeur de leur option de renflouement par une prise de risque excessive (Acharya et Yorulmazer 2007, et Farhi et Tirole 2012), les banques peuvent affecter la probabilité d'un renflouement gouvernemental dans les mauvais états du monde par leurs décisions de prêt interbancaire.
Remarques finales
Bien que la littérature existante ait étudié le problème de l'aléa moral des banques « trop corrélées pour faire faillite » et le problème de la recherche de la structure réglementaire optimale individuellement (c'est-à-dire en se concentrant sur le comportement de chaque banque de manière isolée), notre travail suggère que ces problèmes ne devraient pas être résolus isolément en raison d'effets croisés - l'existence d'externalités est au cœur de la justification de l'intervention de l'État. Un modèle de formation de réseau endogène qui prend en compte l'anticipation par les banques de stratégies de renflouement interne crédibles conduirait à la conception éclairée de politiques structurelles visant à empêcher les banques d'atteindre une structure de réseau, dans laquelle la menace de non-intervention du gouvernement n'est pas crédible. De telles politiques réglementaires maximiseraient la probabilité que les crises futures puissent être résolues par des renflouements plutôt que par des renflouements.

 

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